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 Un appel au crime du président Iranien qui en dit long...

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montségur
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montségur


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MessageSujet: Un appel au crime du président Iranien qui en dit long...   Un appel au crime du président Iranien qui en dit long... EmptyVen 4 Nov - 14:20

Notre Association condamne fermement les appels au crime du président Iranien. Il est grand temps de réaliser que ce genre de propos ne sont pas anodins mais réponde à une logique froide et criminelle.
N'attendons pas la preuve par mort pour le comprendre...


Qui viendra crier avec moi : "Nous sommes tous des sionistes à effacer de la carte du monde", comme nous avons crié : "Nous sommes tous des juifs allemands" ? Ce qu'auraient dû crier nos grands-parents quand le Führer a proclamé qu'il allait "effacer les juifs de la carte de l'Europe".



J'ai découvert le président iranien sur un écran de télévision russe dans la salle d'attente de l'aéroport de Moscou. Il paraissait calme, déterminé. La mort de millions d'Israéliens lui paraissait aller de soi.



Des passagers de toutes nationalités qui suivaient avec moi son discours étaient ahuris. Je l'étais aussi. Et surpris. Non pas que j'aie cru le nouvel élu iranien plein d'amour pour l'humanité, mais je ne pensais pas qu'il prendrait le risque de se retrouver au ban des nations en appelant publiquement à la destruction d'un Etat légitime, reconnu par tous.



J'avais tort. Il ne risquait rien et il le savait. Il a le pétrole et, bientôt, la bombe atomique. Il savait aussi que les dirigeants des pays démocratiques n'oseraient pas, aujourd'hui, après les interventions en Afghanistan et en Irak et en prise avec les difficultés économiques, provoquer une crise politique majeure dans le monde.



Certes, les protestations ont été unanimes, mais sans suite. Aucun pays n'a rappelé son ambassadeur à Téhéran, ne serait-ce que pour consultation.

Le monde musulman, que Mahmoud Ahmadinejad aspire visiblement à représenter sur la scène politique, comme le fait dans la clandestinité Oussama Ben Laden, n'a pas réagi non plus. Et, pourtant, plusieurs dirigeants arabes étaient eux aussi visés par le discours du leader iranien.



Non, personne, aucune autorité religieuse musulmane, aucun homme politique ne s'est désolidarisé de cet appel au meurtre. Sauf... l'Autorité palestinienne. Et c'est un immense signe d'espoir.



Où en est-on avec ce devoir de mémoire dont on nous chauffe les oreilles depuis soixante ans ?



Qu'avons-nous appris de la lâcheté de nos parents dans les années 1930 ? Un homme politique leur avait promis la géhenne. Eux pensaient qu'en lui serrant la main à Munich, ils gagneraient le paradis. A défaut du paradis, ils nous ont laissé en héritage des cimetières.



Les politologues, les commentateurs de tout bord trouveront certainement des excuses au discours de Mahmoud Ahmadinejad. Ils évoqueront son inexpérience, les difficultés internes, la nécessaire réponse à la pression internationale, aux "provocations" américaines... Peut-être.



Mais, pour les dizaines de juifs iraniens, représentant l'une des plus anciennes communautés juives du monde, qui ont été enlevés par la police secrète et dont on est toujours sans nouvelles, ces excuses ne changent rien. Comme elles n'atténuent pas la douleur des mères israéliennes et palestiniennes dont les enfants meurent dans la nouvelle vague de violence que les propos de Mahmoud Ahmadinejad ont suscitée.



Il faut "balayer les stigmates du sionisme de la face de la terre de l'Islam" , nous dit le président iranien. Ne nous sentons-nous pas, nous qui ne sommes pas israéliens, ni peut-être même pro-israéliens et pour la plupart pas juifs, un peu sionistes, ces temps-ci ?



Amis, hommes politiques de gauche comme de droite, intellectuels, simples citoyens d'un pays que j'aime, vous, femmes et hommes admirables que je croise régulièrement lors de nos multiples manifestations pour la défense des droits de l'homme, contre le racisme, pour la paix, venez crier ensemble contre cette nouvelle épidémie qui nous menace. Epidémie plus dangereuse que la grippe aviaire, plus tenace que les ouragans et le tsunami : l'épidémie de la haine.



Marek Halter est écrivain.

par Marek Halter

Article paru dans l'édition du 02.11.05
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montségur
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montségur


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MessageSujet: Des propos inacceptables!   Un appel au crime du président Iranien qui en dit long... EmptyMer 14 Déc - 11:35

L'Iran met en cause le "mythe du massacre des juifs"
14/12/2005 08h03

Ces propos sont inacceptables et doivent-être sévèrement condamnés!


Mahmoud Ahmadinejad le 10 décembre 2005 au Parlement iranien à Téhéran
©AFP/Archives - Atta KenareTEHERAN (AFP) - Le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, a dénoncé mercredi le "mythe du massacre des juifs" et a proposé de créer un Etat israélien en Europe, aux Etats-Unis, au Canada ou encore en Alaska, lors d'un discours retransmis en direct par la télévision d'Etat.

Israël a immédiatement réagi et appelé mercredi le monde à "ouvrir les yeux" sur le régime iranien et son programme nucléaire après les nouveaux propos de son président Mahmoud Ahmadinejad, mettant en doute le génocide nazi contre les juifs.

"Ils (les Occidentaux) ont inventé le mythe du massacre des juifs et le place au-dessus de Dieu, des religions et des prophètes. Si quelqu'un dans leurs pays met en cause Dieu, on ne lui dit rien, mais si quelqu'un nie le mythe du massacre des juifs, les haut-parleurs sionistes et les gouvernements à la solde du sionisme commencent à vociférer", a déclaré le président Ahmadinejad lors d'un rassemblement dans la province du Sistan-Baloutchistan (sud-ouest).

"Si vous dites vrai que vous avez massacré et brûlé six millions de juifs durant la seconde guerre mondiale (...) Si vous avez commis ce massacre, pourquoi ce sont les Palestiniens qui doivent en payer le prix? Pourquoi sous prétexte de ce massacre vous êtes venus au coeur de la Palestine et du monde islamique ? (...) pourquoi avoir créé un régime sioniste factice ?", a déclaré le président Ahmadinejad à l'adresse des Occidentaux. "Notre proposition est celle-là : Donnez un morceau de votre terre en Europe, aux Etats-Unis, au Canada ou en Alaska pour qu'ils (les juifs) créent leur Etat", a-t-il ajouté. "Soyez certains que si vous faites cela, le peuple iranien ne protestera plus contre vous et soutiendra votre décision."

En octobre dernier, le président iranien avait scandalisé la communauté internationale en jugeant que l'Etat hébreu "doit être rayé de la carte". Jeudi dernier, il a de nouveau provoqué une vague d'indignations en mettant en doute la réalité de l'Holocauste et suggérant à l'Allemagne et l'Autriche d'accueillir l'Etat israélien sur leur territoire. "Que l'Allemagne et l'Autriche donnent deux ou trois de leurs provinces au régime sioniste et le problème sera réglé à la racine", a déclaré M. Ahmadinejad, qui a qualifié Israël de "tumeur".

Le Conseil de sécurité des Nations unies a condamné par deux fois les propos du président ultraconservateur iranien.

Israël a appelé mercredi le monde à "ouvrir les yeux" sur le régime iranien et son programme nucléaire après les nouveaux propos de son président Mahmoud Ahmadinejad, mettant en doute le génocide nazi contre les juifs. "Nous espérons que ces propos extrémistes du président iranien feront ouvrir les yeux à la communauté internationale et dissiperont toutes les illusions concernant ce régime", a affirmé Mark Regev, porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères.

"Israël rappelle une nouvelle fois que le dossier nucléaire iranien soit transmis de l'Agence internationale pour l'énergie atomique au Conseil de sécurité de l'Onu" en vue d'imposer des sanctions contre l'Iran, a ajouté M. Regev. Ces propos reflètent, selon lui, "le caractère pervers de la vision du monde et de la réalité de ce régime et le danger que l'Iran puisse disposer à l'avenir d'une capacité nucléaire militaire".

Le général Dan Haloutz, chef d'état-major israélien, a affirmé mardi au parlement, que l'Iran pourra commencer à enrichir de l'uranium à partir de 2006 et produire ses premières bombes nucléaires dès 2008. Les responsables politiques et militaires israéliens ont récemment multiplié des déclarations en ce sens, accusant l'Iran de vouloir se doter de l'arme nucléaire sous le couvert du développement de son programme nucléaire civil.

Notre Association condamne fermement ces propos haineux et ces appels au crime.
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montségur
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montségur


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MessageSujet: Iran attention danger!   Un appel au crime du président Iranien qui en dit long... EmptySam 18 Mar - 12:40

La menace que les nouveaux dirigeants Iraniens font peser sur le Monde est réelle. Sous couvert de la liberté d'une Nation à développer le nucléaire civil se cache de sombres desseins...

Leur nouvelle "solution finale" est déjà dans leurs têtes. Evitons donc qu'elle ne se réalise.
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Karl
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MessageSujet: La tolérance   Un appel au crime du président Iranien qui en dit long... EmptyMer 5 Avr - 10:00

Tolérance




Définition
Qu'est-ce que la tolérance?

«Le 16 novembre 1995, date du cinquantième anniversaire de l'Organisation, les États membres de l'UNESCO ont adopté une Déclaration de principes sur la tolérance. Ils y affirment notamment que la tolérance n'est ni complaisance ni indifférence. C'est le respect et l'appréciation de la richesse et de la diversité des cultures de notre monde, de nos modes d'expression et de nos manières d'exprimer notre qualité d'êtres humains.

La tolérance est la reconnaissance des droits universels de la personne humaine et des libertés fondamentales d'autrui. Les peuples se caractérisent naturellement par leur diversité; seule la tolérance peut assurer la survie de communautés mixtes dans chaque région du globe.Tout comme l'injustice et la violence caractérisées, la discrimination et la marginalisation sont des formes courantes d'intolérance.

L'éducation à la tolérance doit viser à contrecarrer les influences qui conduisent à la peur et à l'exclusion de l'autre, et doit aider les jeunes à développer leur capacité d'exercer un jugement autonome, de mener une réflexion critique et de raisonner en termes éthiques. La diversité des nombreuses religions, langues, cultures et caractéristiques ethniques qui existent sur notre planète ne doit pas être un prétexte à conflit; elle est au contraire un trésor qui nous enrichit tous. »

Source: site de l'Unesco
Enjeux

Tolérance et indifférence
«L'indifférence, c'est un état sans douleur ni plaisir, sans crainte ni désir vis-à-vis de tous ou vis-à-vis d'une ou de plusieurs choses en particulier. L'indifférence, si elle n'est pas une pose, une affectation, n'a évidemment rien à voir avec la tolérance. Dans la mesure où la tolérance, c'est l'acceptation de la différence, celui qui affiche l'indifférence n'a aucunement besoin de pratiquer la tolérance envers qui que ce soit ou quoi que ce soit. Si tant est que l'indifférence soit un trait de la vieillesse, Maurois pouvait écrire: «Le vrai mal de la vieillesse n'est pas l'affaiblissement du corps c'est l'indifférence de l'âme.»

Tolérance et indulgence
L'indulgence est une disposition à la bonté, à la clémence; une facilité à pardonner. L'indulgence va plus loin que la tolérance, mais il est clair que les deux font un bout de chemin ensemble. L'indulgence est un trait de la vieillesse quand celle-ci est un mûrissement et non un durcissement ou un pourrissement.

Tolérance et complicité
La complicité est une association dans le mal. Dans le langage juridique, comme dans le langage courant, il n'y a complicité que dans un délit. En ce sens-là, il peut arriver que l'on tolère une situation, une conduite, parce que cela fait «son affaire», comme on dit familièrement. Cette tolérance fournit un alibi, une excuse, un prétexte. Cette forme de tolérance dure le temps d'un intérêt commun et provisoire.»

Source: Jean-Paul Desbiens, De la tolérance, L'Agora, Vol 3 No 2


****

«(...) le terme de tolérance, pris en son sens propre, est inadéquat à la grande idée qu’on prétend lui faire exprimer. En effet, tolérer une différence d’être et de la pensée, c’est la tenir en quelque sorte à distance avec une note de condescendance et d’indulgence. Le respect d’autrui et de sa liberté demande plus et autre chose.»

Source: Étienne Borne, «La tolérance est-elle une vertu?», La Croix 12 décembre 1980 (cité par le cardinal Paul Poupard, De la tolérance au respect mutuel: Pour un nouvel humanisme plénier. Conférence au Centre Saint-Louis de France, Rome, jeudi 17 décembre 1998; publiée dans Cultures et foi, vol. VII, no 1, 1999)


****


L'intolérance derrière les appels à la tolérance
«Les préjugés ont-ils la dent dure? Oui, sans doute. Le goût des autres nous heurte souvent et nous n'avons peut-être pas assez le goût pour les autres. Il ne s'agit pas bien sûr de prôner une sorte de bienveillance générale et de consensus mou autour d'un pseudo-humanisme nourri de bonne conscience. La comédie humaine serait trop triste sans les colères des uns contre les autres. Mais ce qui domine aujourd'hui, malgré un discours officiel pétri de "tolérance" et de "liberté", c'est souvent la haine de l'autre même si elle n'ose pas dire son nom et se camoufle derrière les mots d'ordre à la mode.»
source: "Le dégoût des autres". Dossier réalisé par Christian Authier (L'Opinion indépendante, Toulouse, Fr.) (lien désactivé: août 2001)
Essentiel
«Tolérance s'oppose, bien sûr, à intolérance, mais cela ne nous avance guère. Il me semble que c'est le fanatisme qui est le contraire de la tolérance. Alain définit la tolérance comme étant «un genre de sagesse qui surmonte le fanatisme, ce redoutable amour de la vérité». On tient ici un bout de piste. Alain parle de «sagesse» et de «surmonter». Non pas de la tolérance qui résulterait de l'indifférence, du mépris, de la faiblesse des convictions ou du caractère, mais d'une sagesse qui surmonte. On retrace l'idée de force, nourriture souterraine de la tolérance. Dans le même ordre d'idées, Guitton écrit: «Il y a dans la sagesse un esprit de compromis. La modération est-elle un abandon? Si toute sagesse est l'acceptation de quelque incohérence, ne faut-il pas placer la sagesse du côté de l'imperfection, et non pas du côté du bien?» Le «Tout ou rien» est le propre de l'intolérant.
L' intolérance est raide et abstraite; la vie est souple et «impure».

Dans l'idée de tolérance, il y a l'idée de délai. On tolère facilement une situation ou une personne que l'on est sûr de pouvoir éviter ou neutraliser, à son gré ou prochainement. On tolère par politesse, par ruse, par calcul ou tout bêtement par lassitude. Mais, au fond, on attend de n'avoir plus à tolérer. Si l'on veut sortir de cette conception et de cette pratique de la tolérance, il faut passer à l'idée de respect. Si , au lieu de tolérer l'autre, c'est-à-dire le différent et même l'opposant, je m'efforce de le comprendre et de le respecter, je fais preuve de force et de confiance. Confiance dans la raison et dans le bien. Au-delà du respect, on entre dans l'ordre de la charité. Je ne sais pas que saint Paul ait jamais prêché la tolérance, mais il écrit: «L'amour est patient, il ne s'irrite pas, il supporte tout, croit tout, espère tout, endure tout.»
(1 Co 13, 4-7) On trouve ici les mots patience et endurer.»
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thierry
Invité




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MessageSujet: Iran attention danger!   Un appel au crime du président Iranien qui en dit long... EmptyMer 19 Avr - 19:31

Le nouveau président iranien a promis à la population d’instaurer l’état de droit dans le cadre constitutionnel. «La défense du droit équivaut à la défense du principe du Velâyat-e-Faqih », a-t-il précisé. Ce principe fut défini par feu Ayatollah Khomeyni comme « le règne de l’islam exigé par Dieu » (voir Pour une République islamique, Paris, Fayolle, 1979). Ce fondement est appliqué et respecté par le gouvernement de Monsieur Khatami comme il l’avait été par celui de Monsieur Rafsandjani.
Il signifie avant tout une application de la Chari’a (ensemble des lois islamiques) institutionnalisée et codifiée par le clergé. La Chari’a est exécutée à la lettre par les instances judiciaires islamiques aidées d’innombrables moyens coercitifs. L’état de droit en République islamique, cela signifie : lapidation pour délit d’adultère, pendaisons massives des trafiquants, emprisonnement des pauvres et sans abris, arrestation (dix à deux mois) et passage à tabac des femmes mal voilées (74 coups de fouet). L’état de droit réserve la peine capitale aux responsables d’ « offenses » au fondateur de la République islamique, Khomeyni, et à son successeur, Ali Khameneih, au même titre qu’au prophète de l’islam. L’état de droit prévoit — pour toute association de plus de deux personnes, formée en Iran ou à l’étranger, et qui porterait atteinte à la sécurité de l’État — l’arrestation et la condamnation à des peines allant de deux à dix ans de prison. Il signifie arrestations et exécutions sommaires validées par des fetwas (ordonnances religieuses) dont la plus célèbre reste l’appel au meurtre irrévocable à l’encontre de Salman Rushdie, ordonnée par Khomeyni. Les ordonnances religieuses condamnent à mort par contumace et sans jugement tous les opposants iraniens à l’intérieur, mais aussi à l’extérieur de l’Iran.
Attention danger pour les femmes : lors de la Conférence des pays islamiques (décembre 1997), l’Iran a proposé une fois de plus l’adoption d’une charte islamique des droits de l’homme pour l’ensemble des pays musulmans. À la première séance, le chef du judiciaire, le religieux Yazdi, a nettement défini la position de son gouvernement : « La différence entre les droits de l’homme islamique et non islamique est dans le concept même du droit. »
C’est exactement ce qui inquiète les associations pour les droits de l’homme et la dignité humaine
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